Presse

mercredi 17 mars 2010

Revue de presse Vous pouvez télécharger la revue de presse au format PDF en cliquant sur ce lien.
Clic droit, enregistrer la cible du lien sous…

Partenaires

mercredi 17 mars 2010

Région midi-pyrénées

La Région Midi-Pyrénées a apporté son soutien à trois expositions présentées par la galerie GHP.

Festival annuel de création contemporaine. Expositions et spectacles vivants sont proposés dans divers lieux de la ville. GHP co-produit des expositions avec le festival depuis 2008.

Radio Campus

Campus fm est une radio associative citoyenne qui diffuse ses programme sur le 94 mhz. Elle est partenaire de GHP depuis 2007 et propose des émissions culturelles en public, en direct de la galerie.

La petite

Spécialisée dans l’accompagnement à la création et à la diffusion, sa direction artistique, à consonance électronique, danse également, d’un pied léger, entre la pop et la folk. Chaque année, La Petite invite à Toulouse un festival de renommée nationale ou internationale (en 2009 : Les Femmes s’en Mêlent) et confie à GHP la programmation plastique.

Citizen Kam est une structure spécialisée en audio-visuel. Elle assure la captation et le montage des « Histoires de l’Art » proposées par GHP à chaque fin d’exposition.

Radio FMR est une radio libre et associative toulousaine qui diffuse ses programmes sur le 89.1 mhz. FMR assure la captation audio des « Histoires de l’Art » proposées par GHP à chaque fin d’exposition.

Leader mondial de la signalisation. L’agence toulousaine produit les adhésifs informatifs pour la galerie.

Location

mercredi 17 mars 2010

Dans un style loft années 30, GHP offre un volume et une modularité exceptionnelle pour tous vos événements.

Avec une surface au sol de plus de 100 m², une hauteur sous plafond de 4 mètres et une luminosité surprenante, GHP est le lieu idéal pour vos réceptions, colloques, tutoriaux, défilés, lancements de produits…

Dans un quartier en plein essor, à quelques mètres des bords de Garonne, vous saurez mettre en valeur vos manifestations et offrirez à vos hôtes un cadre accueillant et atypique.

Profitez d’une grande souplesse d’organisation dans un espace fonctionnel et accessible pouvant accueillir jusqu’à 80 personnes.

rochelle métallique de 20 m²

système de sonorisation

éclairage directionnel

WIFI

grand comptoir de réception

vitrine (3,5 m x 2,5 m) occultable

métro Esquirol et Carmes

parkings

emplacement livraison

proche restaurants et hôtels

cloisons amovibles à disposition

possibilité d’accroche murale

Présentation

mercredi 17 mars 2010

Inaugurée le 21 septembre 2006, la galerie GHP est logée dans un ancien local industriel de 1927, en plein cœur historique de Toulouse.

Galerie GHP Galerie GHP

GHP propose une programmation orientée vers la jeune création autour des disciplines contemporaines les plus variées : peinture, dessin, installation, volume, graphisme, art urbain…

La galerie alterne entre découvertes et plasticiens confirmés, entre artistes nationaux et internationaux. Elle conduit une ligne artistique décomplexée et réinvente le lieu à chaque exposition.

Expo Amandine Urruty Galerie GHP
Galerie GHP Galerie GHP

La galerie GHP est appelée chaque année à apporter son savoir-faire à des festivals nationaux et internationaux comme Le Printemps de Septembre, Sous la Plage, Le Marathon des Mots ou encore Les Femmes s’en Mêlent.

GHP est par ailleurs l’un des sept membres fondateurs du réseau de galeries d’art contemporain Rrose Sélavy.

Rrose Sélavy s’est donnée pour missions de faire émerger une scène toulousaine de l’art contemporain à l’instar d’autres grandes villes européennes, de développer les relations entre acteurs publics et privés et de promouvoir le mécénat culturel.

L’association propose notamment un magazine d’information trimestriel gratuit et organise des manifestations comme la journée événement du 3 avril 2009 soutenue par la DRAC Midi-Pyrénées et la CCI de Toulouse : colloque sur le mécénat culturel (avec Gilles Fuchs, Marie-Claire Marsan, Nathalie Moureau, Isabelle Assassi et Marie-Thérèse Perrin) et soirée artistique à l’école des Beaux-Arts.

Rrose selavy 1 Rrose selavy 2 Rrose selavy 3

GHP fait également partie du réseau Pink Pong qui rassemble une diversité de lieux : espaces municipaux, galeries privés, instituts étrangers et associations, reflétant la diversité de l’art contemporain à Toulouse. Pink Pong s’efforce de créer une dynamique positive sur le territoire de l’art contemporain de l’agglomération Toulousaine, et de promouvoir la création contemporaine en arts plastiques en direction d’un large public.

Yasmina

mercredi 17 mars 2010
vit et travaille en Picardie.
Le vivant, l’organique, le grotesque, parfois le comique sont certainement à la base des préoccupations artistiques de Yasmina. La manipulation génétique, les nanotechnologies… tentent de créer le parfait esclave, un corps parfait pour des objets génétiques intelligents dans le meilleur des mondes.
Yasmina tente de dessiner la place de l’Autre : le pas beau, l’étrange, le raté, la part obscure, ridicule… ses montres. Elle manipule, avec ses outils chirurgicaux-mentaux, des muscles, des os, des cellules qu’elle marque et qu’elle tatoue. Elle nanofabrique.
Son laboratoire est très archaïque, des chiffons faisant office de super-peau, un vieil ordinateur comme laborantin, un stylo et… de l’obscur s’échappant des formes, des viandes à sentiments.

Yann Taillefer

mercredi 17 mars 2010

L’univers de Yann Taillefer est hanté par d’étranges créatures organiques qui s’entre-dévorent ou survivent en symbiose. Les chasseurs comme les proies y agissent en suivant leurs instincts primaires (manger, se défendre, se reproduire…) et se perdent dans d’absurdes cycles sans fin de gestes répétitifs.
Ces pages complètement muettes, dénuées de héros, d’aventures épiques, ne racontent rien.
Elles nous donnent juste à voir les logiques intrinsèques de ces mondes absurdes.

Pourtant on est tenus par la précision de ces mises en scènes qui reprennent les codes graphiques des modes d’emploi et schémas techniques.

Et l’on plonge avec vertige jusqu’au plus profond des entrailles de chaque créature en suivant les mises en abîmes graphiques et narratives de ces histoires.

Yann Taillefer nous propose ainsi des univers à la fois noirs et grouillants de vie.

A mi-chemin entre l’imagerie scientifique analytique la plus froide, et, le voyeurisme d’un enfant contemplant des insectes combattant au fond d’un bocal en verre.

Winshluss

mercredi 17 mars 2010

En amour, Winshluss n’ a aucune morale.

Amoureux des arts il ne redoute pas l’infidélité et c’est à la croisée des genres (animation, cinéma, musique, bande dessinée ), qu’il développe  son  goût pour l’immoralité et le détournement des mythes de notre société.

Vincent Paronnaud (de son vrai nom) est tout d’abord dessinateur. Sa vision d’humoriste aux frontières du macabre, son trait si particulièrement expressif allié à une narration faussement simple, le hisse avec quelques albums au rang des acteurs majeurs de la bande dessinée indépendante.

Collaborateur de longue date des éditions les Requins Marteaux, chez qui il a eu la bonne idée de publier son grand œuvre Pinocchio, récompensé par le prix du meilleur album au festival d’Angoulême en 2009, il s’est aussi illustré avec ses compères Felder et Cizo comme créateur d’expositions d’envergure avec le Musée et le supermarché Ferraille, où une nouvelle fois il piétine les convenances de ses contemporains.
Après s’être fourvoyé dans l’animation en compagnie de son collègue Cizo avec les films « Raging blues » et « oh boys what nice legs !!! » , il se fait cinéaste en 2007 et réalise avec Marjane Satrapi le film ‘Persepolis‘, primé au 60e festival de Cannes.
Winshluss cumule les défis artistiques ambitieux comme d’autres les conquêtes et il a  choisi l’espace GHP comme témoin de ses marivaudages pour sa première exposition personnelle à Toulouse.

Veks

mercredi 17 mars 2010

Lecteur friand de bandes-dessinées et de mangas, Veks débute très jeune en reproduisant personnages, attitudes et situations.

Parallèlement à ces premiers travaux, une association de mixers (l’Evoluson) réunissant quelques uns de ses amis d’enfance, lui passe systématiquement commande pour la réalisation d’affiches, flyers et T-shirts. Rapidement, le travail de la lettre l’intéresse et la lecture de la presse graffiti lui permet de commencer à se définir une identité graphique. Très intéressé par les peintures de groupes tels que DMV ou LCF, il ne quitte plus des yeux l’évolution de la production de peintres tels que Jaw, Lime, Brusk, Bom-K ou des toulousains Reso, Dran ou Gutter dont les personnages inspirent désormais ses propres créations.

Mettant progressivement entre parenthèses le travail de la lettre, il privilégie les personnages dans des créations où se mêlent messages « logotypés » et attitudes caricaturées.

Il propose aujourd’hui une production originale aux ambiances variées.

Tilt

mercredi 17 mars 2010

Originaire de Toulouse, Tilt est aujourd’hui un artiste du graffiti traditionnel internationalement reconnu.

Autoproclamé “graffiti fetishist”, il devient artiste assez tôt, dans la rue et sur les trains. Depuis son premier tag sur une rampe de skateboard, la carrière de Tilt a été nourrie et influencée par le voyage. Il a ainsi exposé et laissé son emprunte dans des pays aussi lointains que variés.

Suivant l’idéologie du graffiti hip-hop classique, son tag (“Tilt”) est le point central dans la majorité de ses peintures, ce qui ce traduit par la récurrence de lettres en forme de bulle qualifiées de “throw-up”.

Tilt a publié trois ouvrages sur son art et la photographie : “Egodrips”, “Photo GraffiTiltism” et “Fetish Bubble Girls”. Il présente à la galerie GHP une toute nouvelle série appelée “StainGlass” et poursuit ses errances autour du monde, armé de ses bombes aérosol.

Sophie Bacquié

mercredi 17 mars 2010

Née en 1974. Vit et travaille à Toulouse.

Après des études en histoire de l’art et en médiation culturelle, Sophie Bacquié obtient en 1999 un DNAP à l’école des Beaux-Arts de Perpignan.
Son travail plastique s’articule autour de l’instinctif et du culturel. Sophie Bacquié questionne le genre, l’intime, le dicible et l’indicible. Entre l’indépendance du trait sur la feuille et la recherche d’une maîtrise formelle se dessine l’exhibition du désir qui prend tour à tour des formes monstrueuses et/ou harmonieuses.
Il ne s’agit ni d’enlaidir le beau ni d’embellir le laid mais de faire vivre ce qui est là. Ce n’est pas détrôner l’extraordinaire ni magnifier le banal mais plutôt de saisir le présent dans sa belle médiocrité et de lui insuffler une nouvelle énergie.

Sophie Bacquié travaille aujourd’hui sur la représentation du paysage habité. Elle a obtenu une aide individuelle à la création en juin 2010 et se concentre sur la production d’oeuvres nouvelles notamment dans le cadre de résidences.