Les carottes sont cuites, deux fois

Entre humour grinçant et critique teintée d’espoir, cette première exposition en duo témoigne avant tout d’un état d’esprit commun. S’exprimant par  une multiplicité de formes et de médiums (installations, volume, dessins…) ces deux plasticiens proposent une relecture du monde actuel.
David Lachavanne, plus habitué à créer dans l’environnement naturel, présente ici des détournements d’objets du quotidien produisant  ainsi des œuvres hybrides jouant sur la symbolique de ces combinaisons. Le travail de Frédéric Sallaz, écho d’un piratage généralisé, s’affirme quant à lui sous forme d’images et d’objets comme les gestes signifiants d’une révolte sereine.

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